« Bonjour,
Je m’appelle Chantal, je suis grand-mère depuis 9 ans, et cela fait 9 ans et demi que l’on m’a diagnostiqué la sclérose en plaques.
Je voudrais témoigner de la difficulté que j’éprouve à faire réaliser à certaines personnes de mon entourage que mes poussées surviennent à chaque fois après un gros stress.
On m’a déjà dit : « Mais non ! Ça ne peut pas être ça ! Tu te fais des idées… ».
Pour moi, la prévention passe essentiellement par le fait d’essayer d’éviter tout stress important. La corrélation entre stress et poussée est évidente. Mon neurologue me dit : « Ne cherchez pas plus loin ! ».
Comment faire passer le message sans avoir l’air de culpabiliser les gens ? On ne peut éviter le stress. Comment empêcher les situations qui amènent ou procurent du stress ?
Je tiens aussi à témoigner, car il faut rester positif, de la gentillesse et de la douceur de mon neurologue qui, à chaque fois, me rassure et m’accompagne avec tout ce que cela comporte : accueil chaleureux, messages téléphoniques, sms, rendez-vous faciles et rapides.
C’est rassurant et ça m’aide. »
Par Chantal.
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Le stress je l'ai depuis toujours. Je suis une stressée de nature mais c'est un peu normal.
J'ai été diagnostiquée en 2008. mon dernier traitement c'était Gylenia. En juillet 2020, j'ai été recue par mon nouveau neuro au CHU. On arrete le Gylenia debut aout pour Ocrevus. Mes prises de sang pas bonnes. On repousse la nouveau traitement. Au tel des internes. J'ai eu toutes les miseres ces derniers temps. Je n exagere pas
Je pense faire une poussée. Je ne sais plus. Le generaliste me conseille de prendre RDV avec mon neuro pour le rencontrer pour faire un bolus.. Je ne connais pas le nouveau neurologue. Pas facile. Et il n est jamais là. Dans le temps le generaliste me donnait de la cortisone en cachets à domicile.
Le virus, les sepiens sont vulnerables. Pour voir un generaliste c est toute une histoire.
Oui je stresse !