« Bonjour,
Suite à un accident de voiture en novembre 2002, j'ai eu des difficultés à marcher en mars 2003. Après cela je suis allé dans un hôpital de Marseille qui m'a fait tous les examens (IRM cérébrale, médullaire, ponction lombaire, potentiel évoqué et j'en passe), ils n’étaient pas tous bons mais je suis sorti de là avec comme diagnostic : « syndrome post traumatique ».
Peu de temps plus tard je refais une poussée et retourne dans cette hosto qui me garde la nuit sans rien me faire et on me met dans le couloir à 8 heures de matin. Là, on me demande d’appeler ma femme pour qu'elle vienne me chercher et on me donne une ordonnance pour passer une IRM cérébrale. N'allant pas mieux au bout d'une semaine, je change d’hosto et vais à Toulon dans un hôpital militaire qui me refait bien sûr tous les examens et me diagnostic une sclérose en plaques. Mais on ne me donne rien pour arrêter mes poussées. Fin 2004, je vois un autre neurologue qui me dit que je dois impérativement prendre un traitement de fond et il me donne la Copaxone® que je prends pendant 3 ans. Mon état ne se stabilisant pas, mon médecin traitant m'envoie chez une neurologue très compétente. Elle voit que je suis passé en forme secondaire progressive et me donne de l’Endoxan®, qui depuis maintenant 3 ans, a stabilisé ma sclérose en plaques.
Je suis en fauteuil pour me déplacer en extérieur mais grâce à cette neurologue je peux encore être un peu autonome chez moi et je la remercie ! Bien d'autres problèmes sont survenus à cause des poussées, mais je gère. Voilà, merci de m'avoir lu.
PS : Je remercie le neurologue de l'hôpital de Marseille (qui travaille sur la recherche contre la sclérose en plaques) de m'avoir laissé comme cela, sans médicament. Grâce à lui, j'ai un fauteuil roulant et je m'éclate avec ! »
Par Gaston.
❤️ Soutenez l'association Notre Sclérose ! (Exemple : un don de 20€ ne vous coûte réellement que 6,80 €).
Rediffusion du 13/02/2012. « Bonjour,
Suite à un accident de voiture en novembre 2002, j'ai eu des difficultés à marcher en mars 2003. Après cela je suis allé dans un hôpital de Marseille qui m'a fait tous les examens (IRM cérébrale, médullaire, ponction lombaire, potentiel évoqué et j'en passe), ils n’étaient pas tous bons mais je suis sorti de là avec comme diagnostic : « syndrome post traumatique ».
Peu de temps plus tard je refais une poussée et retourne dans cette hosto qui me garde la nuit sans rien me faire et on me met dans le couloir à 8 heures de matin. Là, on me demande d’appeler ma femme pour qu'elle vienne me chercher et on me donne une ordonnance pour passer une IRM cérébrale. N'allant pas mieux au bout d'une semaine, je change d’hosto et vais à Toulon dans un hôpital militaire qui me refait bien sûr tous les examens et me diagnostic une sclérose en plaques. Mais on ne me donne rien pour arrêter mes poussées. Fin 2004, je vois un autre neurologue qui me dit que je dois impérativement prendre un traitement de fond et il me donne la Copaxone® que je prends pendant 3 ans. Mon état ne se stabilisant pas, mon médecin traitant m'envoie chez une neurologue très compétente. Elle voit que je suis passé en forme secondaire progressive et me donne de l’Endoxan®, qui depuis maintenant 3 ans, a stabilisé ma sclérose en plaques.
Je suis en fauteuil pour me déplacer en extérieur mais grâce à cette neurologue je peux encore être un peu autonome chez moi et je la remercie ! Bien d'autres problèmes sont survenus à cause des poussées, mais je gère. Voilà, merci de m'avoir lu.
PS : Je remercie le neurologue de l'hôpital de Marseille (qui travaille sur la recherche contre la sclérose en plaques) de m'avoir laissé comme cela, sans médicament. Grâce à lui, j'ai un fauteuil roulant et je m'éclate avec ! »
Par Gaston.
❤️ Soutenez l'association Notre Sclérose ! (Exemple : un don de 20€ ne vous coûte réellement que 6,80 €).
Mais le sourire et l'espoir, merci à mon épouse, ma famille, mes amis, et mes Soignants ...
Bon courage à tous, la Vie est belle !!!