« Bonjour,
Je m’appelle Myriam, je suis âgée de 22 ans. Je suis actuellement étudiante assistante sociale et « cela » m’arrive, bien évidemment, l’année de mon diplôme !
Ça fait maintenant 6 mois que j’ai l’impression d’être dans un cauchemar sans pouvoir me réveiller.
Pour tout vous expliquer, à la sortie de mon BAC, j’ai réalisé une première année de formation d’infirmière. J’ai donc fait le « fameux vaccin » sans me douter de la polémique qui existait à son sujet.
J’ai par la suite développé une diplopie qui est passée inaperçue aux yeux des équipes de professionnels soignants : « Vous êtes jeunes, c’est le fameux stress des exams !!! ».
Puis je me suis reconvertie dans le social. La vie est belle quand on est jeune, tout roule pour moi, la beauté, la santé, la joie de vivre… Jusqu’à ce que…
3 ans plus tard, je fais ma première grosse poussée. Je n’arrive plus à marcher. Mais que ce passe-t-il ? Plongée dans un déni, je passe mes journées à me dire que j’ai simplement mal dormi et que demain tout ira mieux.
Je rencontre alors mon neurologue est c’est là que tout s’enchaîne ! Ponction Lombaire, bolus de corticoïdes, etc… Mon neuro me dit que pour certifier le diagnostique, une seule poussée ne suffit pas. Très bien Dr House, le mois d’après je lui en ai faite une 2ème, puis une 3ème le mois suivant.
Tout s’enchaîne sans que je ne puisse me réveiller. Du jour au lendemain, je me retrouve avec un traitement par intramusculaire (interféron), un dossier MDPH avec une reconnaissance « handicapée », une affection longue durée. À 22 ans, je ne dispose plus de la même autonomie de marche qu’il y a 1 an, je ne contrôle plus mes sphincters, j’ai des pertes de mémoire et des difficultés de concentration et j’ai l’énergie d’une grand-mère de 80 ans !
C’est triste, je déprime sans trop le montrer à mon entourage qui est sans aucun doute aussi touché que moi par ce choc de la vie. J’ai fait appel à une association qui est venue à domicile pour me rassurer mais ça n’a fait qu’empirer les choses ! Cette infirmière n’a rien trouvé de mieux que de me balancer, avec un manque total d’empathie, que j’avais en gros, au vue de mes poussées, une chance sur deux de finir en chaise ! Mais quelle horreur ! Non, c’est une plaisanterie ?! Où est la caméra ?? C’est un cauchemar sans fin.
Et quand j’y repense, tout ca parce que j’aurais fait confiance à une formation professionnelle et que j’aurais accepté de faire ce vaccin ? Je refuse de me laisser faire ! Mais que puis-je faire ?
A l’aide… »
Par Myriam.
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Courage a toi
Moi jai mon mari qui a la sclérose en plaque depuis juin 2018
Sa fesait un an avant quil avait des symptomes comme les bras qui senguourdisse les jambes les mal de tête les étourdissements et il été menuisier mais il passait un diplome pour travailler entant que serrurier et cetait pas évidant pour lui jusquau jour il ses senti vraiment mal et a lhopital on lon navait été il lui avait rien trouver alors il la déciser de passer des examens a lhopital a créteil et la il lont garder et lui on fait une ponstion lombaire et irm et verdict sclérose en plaques
Apres sa il na pas voulu que je vienne a lhopital et pas voulu que je soit aupres de lui mais quand on navait su sa comme pour lui ou pour moi on a cetait pries un coup de massues car on navait des projets et la plus rien
Il la ensuite déciider de partir en vacances lui tout seule et sa lui a fait beaucoup de bien
Ensuite il la passer son diplome il la eu pour etre serrurier et a décider de travailler a lentreprise de son frere et rester vivre chez son pere et notre couple ai en suspences cest tres dure a vivre mais je vais a son rythme je ne lui met pas la pression pour quoi que se soit
Il va une fois part mois a lhopital se faire une injection dun medicament et a fait de la réeducation et a retrouver lusage de son bras et de sa jambes mais il lai beaucoup fatiguer il travailler de 5heure du matin et rentre a 22heure je me demande comment il fait comment il tien
Il la même arreter de fumer mais moi jai peur pour lui car je me dit quil travaille trop mais lui me dit je me bat contre la maladie et le rant que je pourrait travailler je travaillerait et il lavait aussi des humeurs des fois méchant que maintenant depuis son traitement quil la son humeur ai tres bien il sourit a la vie
Voila pour dire que a tout ceux quil son malade courage car mon mari ai un exemple
Il me dit faut le mental le courage et profiter de la vie aussi
Alors courage a vous tous