« Bonjour,
Courant 2011, je remarque une gêne à la marche si j’ai plus de 4 kilomètres à parcourir. Ma jambe droite devient lourde, je la traîne, mais cela ne m’empêche pas de vivre : alors je ne fais rien. Je pars régulièrement en vacances avec ma sœur et cette fatigue à la marche l’inquiète : je n’ai pas 40 ans, ce n’est pas normal.
Été 2014, je consulte mon médecin traitant, puis un neurologue. S’en suit une batterie d’examens : plusieurs IRM qui restent « normales », puis une ponction lombaire en novembre 2015 où l’on m’annonce une maladie inflammatoire, mais rien de plus. Je regarde sur Internet et lorsque je tape « maladie inflammatoire », cela me ramène très souvent à la sclérose en plaques.
Le 18 janvier 2016 avec tous mes résultats d’examen, je vais chez le neurologue. Je suis confiante car je crois en ma bonne étoile qui me suit depuis toute petite : du coup, c’est le choc car le neurologue m’annonce sans délicatesse que j’ai une sclérose en plaques. Je suis sonnée, mais il faut que je reste attentive car il m’explique « tous les traitements » qui s’offrent à moi ! Je décide de commencer Aubagio® car c’est le seul par voie orale. Après avoir lu tous les effets indésirables et sans avoir commencé le traitement, je les ai déjà !
J’ai commencé Aubagio® le 23 janvier 2016 et je n’ai finalement aucun effet indésirable. Je viens d’effectuer mes IRM de contrôle et la maladie n’a pas évolué… Je ne peux toujours pas marcher plus de 4 kilomètres, mais cela ne m’empêche pas de vivre et je me sens plus forte qu’avant ! Ma famille, mes amis et mes enfants sont très importants, sans parler de mon mari. Nous étions déjà très complices, mais cette maladie nous a encore plus rapprochés et nous fait prendre conscience que l’équilibre est fragile : alors hier et demain n’existent pas, nous vivons le moment présent… »
Par Lydia.
❤️ Soutenez l'association Notre Sclérose ! (Exemple : un don de 20€ ne vous coûte réellement que 6,80 €).
Rediffusion du 17/04/2017. « Bonjour,
Courant 2011, je remarque une gêne à la marche si j’ai plus de 4 kilomètres à parcourir. Ma jambe droite devient lourde, je la traîne, mais cela ne m’empêche pas de vivre : alors je ne fais rien. Je pars régulièrement en vacances avec ma sœur et cette fatigue à la marche l’inquiète : je n’ai pas 40 ans, ce n’est pas normal.
Été 2014, je consulte mon médecin traitant, puis un neurologue. S’en suit une batterie d’examens : plusieurs IRM qui restent « normales », puis une ponction lombaire en novembre 2015 où l’on m’annonce une maladie inflammatoire, mais rien de plus. Je regarde sur Internet et lorsque je tape « maladie inflammatoire », cela me ramène très souvent à la sclérose en plaques.
Le 18 janvier 2016 avec tous mes résultats d’examen, je vais chez le neurologue. Je suis confiante car je crois en ma bonne étoile qui me suit depuis toute petite : du coup, c’est le choc car le neurologue m’annonce sans délicatesse que j’ai une sclérose en plaques. Je suis sonnée, mais il faut que je reste attentive car il m’explique « tous les traitements » qui s’offrent à moi ! Je décide de commencer Aubagio® car c’est le seul par voie orale. Après avoir lu tous les effets indésirables et sans avoir commencé le traitement, je les ai déjà !
J’ai commencé Aubagio® le 23 janvier 2016 et je n’ai finalement aucun effet indésirable. Je viens d’effectuer mes IRM de contrôle et la maladie n’a pas évolué… Je ne peux toujours pas marcher plus de 4 kilomètres, mais cela ne m’empêche pas de vivre et je me sens plus forte qu’avant ! Ma famille, mes amis et mes enfants sont très importants, sans parler de mon mari. Nous étions déjà très complices, mais cette maladie nous a encore plus rapprochés et nous fait prendre conscience que l’équilibre est fragile : alors hier et demain n’existent pas, nous vivons le moment présent… »
Par Lydia.
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