« Bonjour,
Difficile de raconter son histoire.
Je n'ai, pour ma part, jamais eu de signes avant-coureurs. La fatigue, oui, comme tout le monde. Mes parents m’ont appris qu’il faut se lever et aller au travail. Mon boulot était très stressant et très speed. Mais tellement enrichissant.
Voici mon histoire :
Février 2015, nous déménageons avec mon mari et ma fille dans la maison de nos rêves pour y accueillir mon cheval. Jusque-là tout va très bien.
Août 2015, le 14, j'ai ressenti des vertiges et une fatigue excessive. J'essaie de dormir mais à 1 heure du matin, je me réveille avec une envie de vomir. Eh bien cela a duré 4 jours. Impossible de me lever, je dors tout le temps et ne mange rien. Bref, j'attends le 17 août pour voir un médecin qui me diagnostique un problème d'oreille interne. Ok mais pourquoi je ne fais que vomir et tituber, pourquoi j’ai l'impression d'être complètement ivre ? Pas vraiment de réponse à mes questions. Je prends le traitement qui me soulage légèrement. Au bout de 15 jours d'arrêt, il faut que je retourne au boulot. Impossible de conduire. Les symptômes sont tous de retour avec une marche extrêmement difficile.
Je vais donc voir mon médecin traitant pour prolonger mon arrêt de travail. Il me fait faire les tests de coordination car je m'exprime très mal. Conclusion : direction les urgences car suspicion d’AVC. S’ensuit une batterie de tests : prise de sang, ponction lombaire, biopsie des glandes salivaires et j'en passe.
Je sors la veille de la rentrée scolaire du lycée. Heureusement mon mari est là pour accompagner ma fille.
22 octobre, ma neurologue m'annonce que j'ai une sclérose en plaques. J’ai eu deux poussées à une semaine d'intervalle. Cerveau et colonne touchés. Je commence l'Aubagio®, c’est un échec total* car j’ai des douleurs intestinales insupportables. Je passe au Plegridy®, en injection. Nouvel échec*, idées noires, douleurs permanentes et symptômes grippaux. Depuis je suis sous Copaxone® en injection journalière. Ouf, celui-ci va très bien.
En attendant, la médecine du travail me met en inaptitude. Licenciement en août 2018, beaucoup plus dur à accepter que l'annonce de la maladie. Mon patron et moi nous étions mis d'accord pour faire un essai et aménager mon poste de travail. Mais la médecine du travail a mis son veto.
Que vais-je faire ? J'ai 18 ans d’ancienneté dans la même boîte !
La fatigue est constante… l'énergie d'une journée disparaît et après 1 semaine à reprendre une vie quasi normale.
Ma fille rentre à l'université l'année prochaine. Et il va bien falloir que je travaille mais je ne sais pas dans quoi me reconvertir.
Enfin bref, malgré des poussées mineures, je me bats, comme toutes personnes atteintes de la sclérose en plaques, pour continuer à vivre une vie normale. »
Par Carine.
*Note de Notre Sclérose : les effets secondaires éventuels et leur intensité sont très variables selon les gens.
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J ai la sep déclarée depuis 2020.
Ma maladie a été traitée 10 ans après car je pensais
Suite à des pronostics de 2 médecin que m'a boiterie
Provenait d,un accident que j,aïs eu en 2007.
Mon neurologue m,à prescrit en 2020 du copaxone
Ça n à rien fait, auparavant j,ai eu à l,hôpital des corticoides qui m,ont rétablit car je commençais à avoir
Une paralysie de mon bras accompagné de problème aux membres inférieur.
Le copaxone a été inefficace, mon neurologue m,à envoyé en centre de reeducation sans traitement de fond.
Il pensait que j,avais une sclérose progressive.
Je l,ai oublié car ça ne servait à rien que j,aille le voir
Car il ne me donnait rien.
J,ai consulté plusieurs neurologues et eux aussi trouvaient qu,il n,y avait rien à donner.
Je suis rentrée dans une clinique de reeducation et
J,ai eu une poussée qui m,à laissée très handicapee.
Avant je sortais mon chien dehors.
A présent je ne peux plus.
Mon neurologue suite ala dernière poussée ou
J,ai été hospitalisée dans son service, s,est
Mis à me dire enfin, on va stopper la maladie.
Et il m,à mis sous tysabri.
Depuis je n,ai pas de poussées, je vais chez le kine
2 fois par semaine mais je reste cloîtré chez moi
Car je vis au 1er étage.
J,ai des vomissements, pour aller aux toilettes je prends des laxatifs, et pour dormir des seresta et
Baclofene.
Je me dois d,être forte et je ne comprends pas pourquoi mon neurologue a tarde pour me donner l,immunosupresseur.